mercredi 27 février 2013

La beauté du Mont Valin

On dirait bien qu'il y a quelque chose en haut de cet arbre.
Eh ben, t'es gonflée!
Dans les champs de l'autre côté de la rivière, à l'horizon, le Mont Valin me faisait de l'oeil.
Je me suis approché et je n'ai pas été déçu.
Ici c'est la vue sur le versant est qu'on contourne quand on fait le Tour du Mont Valin

lundi 25 février 2013

Vous ai-je dit que j'aimais bien les poulettes?

 -1°, soleil mur à mur, mes skis de pas de patins étaient prêts. Je les ai mis sur mon épaule... 
 Au bout de la rivière, au pied des rapides et du "trécel", il faisait beau exposant 2 millions.
 Ce gentil rouquin n'était pas sûr de mes intentions pourtant très pacifiques.
 En revenant au bord de la rivière j'ai vu des perdrix très haut comme d'habitude.
 Une des deux, la mère, vu ses dimensions et sa prudence, continua de manger en sécurité. 
 Mais une plus jeune et vraiment jolie, est descendue au sol cherchant de la nourriture fraîche
 et un autre point de vue!!!
J'avoue que j'ai profité tant que j'ai pu de cette innocence
 ce qui causa ce regard ...interloqué.
 C'était mon premier vrai test pour mon nouvel appareil photo.
 Et je n'ai vraiment pas été déçu.
Qu'en pensez-vous chère dame?

vendredi 22 février 2013

Quand même que je vous dirais que j'ai passé une journée de rêve, ce serait loin de la réalité...

Ce matin le soleil était au rendez-vous comme prévu. Pas un air de vent, c'était le moment!
 Il n'était pas question d'aller au Parc: trop petit, trop ombragé, trop tracé...
 Au barrage de Laterrière le niveau de l'eau était haut en aval.
 Ce qui ne m'a pas empêché de remarquer que cette cheminée avait quelque chose de bizarre.
 En amont du barrage, sur le lac Kénogami, ça ressemblait à ça!
 En hiver le lac Kénogami se vide d'eau et ne conserve que la glace qui reste à des endroits bizarres et décoratifs.
 Le monsieur est vraiment content...
 À l'horizon le Parc des Laurentides
 Seul au paradis
 C'est ce qui s'offre à moi: je n'y croyais pas!
 Pour ceux et celles qui ne le sauraient pas encore, quand le soleil arrive, mes fesses ne demandent qu'à se faire caresser par lui...et se montrer, bien sûr!
 Une trace comme ça, on en rêve et avec mon instinct de vieux skieur on la vit.
 Allô mon amour!
 14h30, c'est l'heure de diner. Il ne manque que le thermos de café.
 Un espèce de sphynx devant moi au diner!
 Diner au soleil de février le thermos à ma gauche!
 Une autre belle preuve de mon passage au paradis...
 J'aime bien ce garage à bateau.
 En voulant arrêter pour voir le niveau de la rivière Chicoutimi, je suis tombé la-dessus.
 Du même point de vue, mais sans téléobjectif.
 Niveau d'eau très haut, mais très beau à cette heure
En revenant, le Mont Valin me montrait la place qu'il prenait...Feu de circulation du club de golf.

lundi 18 février 2013

Histoire d'O, froide...

 Assis, nu, au soleil, à l'abri du vent je lisais derrière une providentielle porte patio.
De l'autre côté j'ai vu ce qui suit.
Vous avez sans doute remarqué que je suis facilement "fascinable" visuellement.
 Des choses très simples, anodines, qu'on peut voir à tous les jours,
attirent mon attention et j'essaie de faire partager ce que je vois.
Mes expériences avec mon nouvel appareil photo n'ont fait qu'exacerber cette curiosité.
D'ailleurs je me suis laissé aller à imaginer un roman ayant pour sujet la première photo de ce texte: il y serait probablement question de  "l'empire du Milieu"

mercredi 13 février 2013

Beau temps pour le ski, mais sale temps pour les marginaux

Il y avait longtemps, qu'on avait pas eu une si belle neige, une température aussi douce,
un ciel bleu et un soleil éclatant. Les skieurs jouissaient
et les raquetteurs n'étaient pas en reste.
C'est ici que le temps se gâte. Cette magnifique épinette qui est là depuis que je vais au Parc, et qui vous en conviendrez, impressionne par sa résistance aux lois de la gravité,
Voici ce qu'il en reste!
Ils l'ont peut-être abattue en écoutant "The Wall"

mardi 5 février 2013

La relève est assurée(J'ai pensé à Julie et j'ai entendu: Alexia)

 Tout près de -20°, un petit vent, c'était pas chaud mais beau et très différent, j'étais loin d'être seul.
 Dans la montée rénovée près de la Chute à l'Équerre une caravane de jeunesse dont les cris et les rires faisaient vraiment plaisir à entendre.
Une enseignante de l'école St-Bernadette, accompagnée d'un autre adulte, faisait une sortie complètement piétonne jusqu'à la Chute aux Sables et retour. Quelle merveilleuse idée!
 Les enfants jeunes (1er cycle) étaient vraiment comme des larrons en foire et on les comprend.
 Au bout ce paysage, ils sont là et ont commencé le retour avec des images plein la tête!
 Les voici avec cette initiatrice qu'il faut féliciter et qui me fait penser à mon père qui faisait ça dans les années 50. Elle m'a fait penser à Julie et encore plus quand elle a appelé la dernière qui tardait à revenir:"Alexia, viens t'en, faut retourner".