À pied dans les sentiers de raquettes du Parc, il fait autour de zéro, l'air est doux et on dirait que la nature commence à s'éveiller.
De plus près c'est encore plus évident.
Quant aux mélèzes, leur nudité achève.
Leurs branches sont couvertes de cocottes de toutes les dimensions, dont quelques unes à maturité, semblent très fières d'elles.
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